Petit article afin de mettre à jour de mes dernières découvertes 'lecture' et 'vu'

Astroboy: le robot le plus fort du monde

Ecrit par Osamu Tezuka il y a quelques décennies, le récit originale 'le robot le plus fort du monde' -qui devait renaitre sous le titre PLUTO- nous conte une aventure du petit robot qui doit tout faire pour arréter un être programmé pour détruire les sept robots les plus fort du monde. Et donc devenir par là même le robot suprême.

Bien sur dérrière cette machine se cache un homme bête et méchant qui ne souhaite rien d'autre que le pouvoir...

Ayant découvert en premier le PLUTO moderne, je dois dire que la différence de traitement entre les deux versions est ce qui m'a le plus marqué.

Plus enfantin certes, mais aussi avec des cases et surtout un humour que je qualifirai sommairement d'ambigu...

Le premier dessin représentant Astro démontre à lui seul toute cette étrange ambiance sous-jacente qui traîne dans les pages du récit...Il est évident que de telles choses ne pourraient plus être déssiné de nos jours. Et est ce vraiment un mal?

Son style est aussi très influencé par le cartoon et le style Disney pour le visuel et la BD pour la mise en page (avec quelques exceptions).

Mais bon toute l'histoire n'est pas là fort heureusement. Paradoxalement si je devais conseiller la lecture des deux versions de cette histoire, je dirai de commencer par la version 2003, afin de garder tout le suspens nécéssaire aux révélations qui s'enchaînent. Car cette histoire originelle -beaucoup moins longue- vous gacherait complètement la lecture de l'oeuvre d'Urasawa.

Le déroulement de l'histoire est quasi identique, mais Urasawa en fait une série en une soixantaine d'épisodes, ce qui implique nécéssairement un dévellopement des personnages plus poussés (Gesicht en tête évidement). Plus mature et réaliste aussi. Ce qui est plus ma came je dois avouer. Mais la comparaison entre les deux et intérréssante et fait montre de l'évolution de notre vision sur la robotique en somme...

Breaking Bad Saison 5 partie I

Cette fois c'est fait, Heisenberg est au sommet. Et Jesse aussi, enfin presque...

Mais d'autres problèmes s'annonce...comme effacés les traces de leur collaboration avec Fring, gérer la relation plus que tendue avec Mike, l'homme à tout faire et vieux briscard du milieu etç...

Puis vient le temps de se remettre au travail, refonder un business sur les cendres de l'ancien.

Mais cela ne se fera pas sans quelques changements. Dans l'équipe d'abord. Puis au niveau personnel ensuite.

Walter White se retrouve bien seul en cette -avant-dernière saison qui le voit gérer une carrière au sommet. Plus sur de lui, voir trop et surtout jouant les caïds sans vergogne, Heisenberg prends de plein pied le pouvoir sur Walter White...

Jesse lui est plus en retrait tant au niveau de l'histoire que du personnage, et semble revenir petit à petit dans une vie plus banale...il faut dire qu'un événement marquant survenant dans cette saison marque la scission entre les deux hommes, leur réactions face à cette tragédie accentuant bien leur différence. l'un semble avoir atteint ses limites dans la mal et tente de les repousser tandis que l'autre lui s'y enfonce allègrement...

Ce qui l'en sortira est paradoxalement non pas tant les ennuis qui leur tombaient dessus constament que la routine habituelle et nouvelle dans laquelle son nouveau mode de vie l'a emmené.

Mais alors qu'il semble en avoir fini avec cette vie qui ne le motive plus - plus de quête du pouvoir, plus de menaces, plus d'inquiétude...- un événement anodin amène son beauf' à avoir le déclic tant attendu...

La seconde partie (et surtout dernière!) qui s'annonce pour l'été prochain sera le temps des réglements de comptes, du prix à payer et la conclusion de l'odyssée de Mister White au delà du bien et surtout du mal.